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mercredi 14 septembre 2011

Que devient le Petit Gibus de la première Guerre des boutons ?

Aujourd'hui dans les salles de cinéma sort La Guerre des boutons de Yann Samuell, la première des deux nouvelles adaptations du célèbre roman de Louis Pergaud. L'occasion idéale pour prendre des nouvelles de Martin Lartigue, alias Petit Gibus dans la première version réalisée en 1961 par Yves Robert.

 
 
Alors que La Guerre des boutons de Yann Samuell, l'une des deux nouvelles versions du roman de Louis Pergaud (la seconde, La Nouvelle Guerre des boutons, sortira dans une semaine !), arrive sur nos écrans, Martin Lartigue, l'interprète du Petit Gibus dans la première Guerre des boutons, s'apprête à mettre le cap vers l'Eure-et-Loir, où le célèbre film d'Yves Robert a été tourné en septembre et octobre 1961. En effet, cela fait exactement cinquante ans que ce petit homme, aujourd'hui âgé de 59 ans, a déclamé sur grand écran la réplique culte pour toute une génération : "Ben mon vieux, si j'aurais su j'aurais po v'nu."

Fils du peintre Dany Lartigue et petit-fils du célèbre photographe Jacques-Henri Lartigue, Martin débuta le métier de comédien à l'âge de 9 ans sous la direction d'Yves Robert en interprétant le rôle de Petit Gibus dans son film La Guerre des boutons aux côtés de son frère François qui campait Grand Gibus. "Au départ, je ne devais pas avoir autant d’importance dans le film, explique le comédien à l'AFP. Mais Yves Robert, qui était le beau-frère de mon père, en a rajouté. J’étais turbulent et marrant. C’est plus tard que je suis devenu timide."

Depuis le succès sans précédant de Bienvenue chez les Ch'tis de Dany Boon en 2008, qui a attiré plus de 20 millions de spectateurs dans les salles obscures, La Guerre des boutons d'Yves Robert est passé de la neuvième à la dixième place des films français ayant fait le plus d'entrées, soit 9.950.000 places vendues. Rien de plus normal que le jeune garçon soit devenu du jour au lendemain une "star" tant le succès du film a été immense au début des années 1960. Bien des années plus tard, il donna la réplique à Romy Schneider, Jean Richard ou encore Michel Serrault, avant de se consacrer exclusivement à sa carrière de peintre et de sculpteur. D'ailleurs, l'artiste va exposer pendant un mois une cinquantaine de ses oeuvres au château de Maintenon, village voisin de Bailleau-Armenonville, dont les rues et l'école ont servi de décor à Yves Robert pour son fameux film et où sera fêté le 24 septembre prochain le cinquantième anniversaire du tournage de la première Guerre des boutons.

Concernant les deux nouvelles versions de La Guerre des boutons, Martin Lartigue ne semble pas vraiment pressé de les découvrir. "J’attends qu’on m’envoie les DVD des deux films qui sortent ce mois-ci, confie le peintre. Je les regarderai avec des copains. Ils sont peut-être bien".
W.B. - mercredi 14 septembre 2011 à 11h00

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