Nicolas Cage dans Papillon noir version US

Une version américaine du téléfilm françaisPapillon Noir, avec Stéphane Freiss et Eric Cantona est en préparation, moitié à Hollywood, moitié en Allemagne. Et c'est Nicolas Cage qui sera la tête d'affiche de ceBlack Butterfly, d'après The Hollywood Reporter.

Papillon noir, c'est l'histoire d'un auteur à la dérive, qui se lie d'amitié avec un vagabond. Tout va pour le mieux sauf que, depuis quelques semaines, des jeunes femmes disparaissent de façon mystérieuse dans les alentours. En voulant écrire un scénario de polar, l'auteur s'inspire alors de la réalité, sauf qu'à un moment, les deux se confondent et on finit par ne plus bien savoir qui soupçonner. Voilà les ingrédients piquants de ce thriller psychologique de Christian Faure, diffusé en 2008 et porté par Eric Cantona et Stéphane Freiss. Impossible pour nos amis américains de résister à cette sauce à base de suspense et de souffles coupés. L'acteur Nicolas Cage tiendra le rôle de Stéphane Freiss, celui donc d'écrivain largué.


Ce Black Butterfly (ça fait quand même plus sombre en anglais) sera dirigé par Brian Goodman, déjà réalisateur du thriller Boston Streets. Ce sera le deuxième coup d'essai de cet acteur de profession, vu dans de nombreuses séries US (NCIS, Castle, Bones...). Le tournage est prévu pour début 2012 et devrait avoir lieu dans l'est de l'Allemagne, logique puisqu'il est co-produit par une société allemande dont ce sera le premier long-métrage tourné en anglais. On ne sait pas encore qui tiendra le rôle de notre Eric Cantona national, mais l'Allemande Veronica Ferres (vue dans Klimt, avec John Malkovitch) devrait être de la partie. Espérons que le butterfly anglais sera aussi haletant que le made in France.

M.C. - jeudi 20 octobre 2011 à 12h08

James Cameron révèle les secrets d'Avatar 2 et 3

Dans une interview accordée à la chaîne américaine ABC, James Cameron a accepté de révéler quelques secrets à propos de la suite de la saga Avatar. Le réalisateur habitué aux gros succès cinématographiques promet de nombreuses surprises.

Rares sont les réalisateurs qui acceptent de révéler les secrets de leurs films en cours de préparation.James Cameron, lui, a rompu la loi du silence. Dans un entretien avec un journaliste de la chaîne américaine ABC, le célèbre réalisateur (à qui l'on doit notamment Terminator et Titanic) s'est laissé aller à quelques confidences fort prometteuses concernant la suite du film Avatar.


Si James Cameron avait déjà prévenu qu'il tournerait Avatar 2 et 3 simultanément tout en abordant cette fois-ci les océans du monde de Pandora, il a levé un peu plus le voile sur ce à quoi devraient ressembler les nouveaux opus de la saga. "J'ai vraiment hâte de commencer à créer ce nouvel écosystème, qui sera vraiment spectaculaire, a-t-il annoncé. Avatar 2 sera centré sur l'océan plus que sur la nature en général (...). Notre planète est une planète bleue (...) et nous tendons à rendre les océans invivables pour de nombreuses espèces. C'est pourquoi j'ai envie de me concentrer sur ce problème".


Toutefois, que les amateurs de divertissement et d'effets spéciaux se rassurent, la suite d'Avatar ne sera pas seulement un pensum environnemental. "Je souhaite que le public ressente toujours cette même sensation d'excitation en découvrant un nouveau monde", a confié le réalisateur. A cet effet, une nouvelle planète devrait voir le jour : Nucobia. Avec, en prime, une faune et une flore à couper le souffle. Les accros d'Avatar devront toutefois prendre leur mal en patience, puisque ces deux nouveaux films ne devraient pas voir le jour avant 2013.

GDB - jeudi 20 octobre 2011 à 11h07

DANSE AVEC LES STARS EN ARGENTINE : ILS FINISSENT NUS SUR SCÈNE ! (VIDEO)

Une vidéo particulièrement chaude de la version argentine de Danse avec les starsagite le web depuis plusieurs jours. Une candidate argentine et son partenaire ont poussé la danse un peu loin. Multipliant les positions suggestives, ils ont fini complètement nus sur le plateau de télévision... sous la mine dépitée du présentateur.

Marcelo Tinelli. Ce nom ne vous dit sûrement rien, et pourtant, c'est un peu l'alter ego argentin de Vincent Cerutti, présentateur de Danse avec les stars. Lundi 3 octobre au soir, Marcelo a eu une grosse surprise sur le plateau de son émission. Un couple de candidats (Cinthia Fernandez, mannequin et comédienne, et son coéquipier) a opéré un numéro de danse à la limite de la pornographie. Pendant plusieurs minutes, ils se sont trémoussés tout en effectuant un strip-tease du plus mauvais goût, avant que madame ne finisse nue comme un ver sur scène, avec des minis étoiles en guise de cache-seins...


Cette vidéo a semé la panique en Argentine, choquée par ce show diffusé en direct à la télévision, où la danse n'avait plus vraiment sa place. Les candidats sont allés si loin que le présentateur Marcelo Tinelli en est venu à crier "No ! No !' afin d'interrompre leur "performance", en vain. Bailando por un sueño, version argentine de Danse avec les stars, a beau être plus permissive qu'en France, ces danseurs ont fait très fort! A tel point que le lendemain de la diffusion, la candidate s'est excusée publiquement, et notamment envers son père, présent au premier rang pendant l'émission !

Le présentateur risque quant à lieu des poursuites judiciaires pour avoir laissé ce spectacle aller à son terme. Ce n'est pourtant pas la première fois que l'émission dérape sur scène, en 2010, deux autres danseurs avaient également offert un véritable strip-tease à leur public, avant d'être interrompus dans leurs quasi-ébats! 

Regardez la vidéo de cet épisode très olé olé de Danse avec les stars en Argentine. Attention, certains passages pourraient choquer les jeunes esprits.


http://danse-avec-les-stars.programme-tv.net/danse-avec-les-stars-2/news/19800-argentine-ils-finissent-nus-scene-video/




M.C. - jeudi 20 octobre 2011 à 12h52

Le cinéma du Trèfle à ouvert ses portes

Ouverture officielle le 19 Octobre 2011

VOD: L'offre cinéma encore trop chère et trop restreinte

INTERNET - C'est ce qui ressort d'une récente étude menée par la Hadopi auprès d'internautes français...

 

Le cinéma représente à l’heure actuelle l’activité principale de VOD en France, avec une part de 65% sur ce marché. Toutefois, plusieurs freins viennent entraver la progression de cette offre, indique la Haute autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi), qui publie un rapport sur le sujet à la veille des rencontres cinématographiques de Dijon.

Des prix peu attractifs par rapport à l’offre physique

Les tarifs sont les premiers en ligne de mire. Le prix moyen des œuvres cinématographiques en VOD est de 4,25 euros, selon la Hadopi. Les internautes soulignent «le caractère particulièrement onéreux de l’offre de VOD pour les achats à l’acte», fait savoir l’étude. Des consommateurs qui jugent les prix peu attractifs par rapport à l’offre physique (DVD, Blu-Ray). C’est notamment le cas pour les offres groupées, comme la saison complète d’une série par exemple, qui sont proposées à des prix inférieurs sur support physique en magasin.

Les délais de disponibilité trop longs

Si le délai de disponibilité des œuvres a été avancé à quatre mois après la date de sortie en salles en 2009, les films restent disponibles beaucoup trop tard sur les plateformes légales. «De nombreux internautes soulignent que 36 mois s’écoulent entre la date de sortie en salles d’un film et le moment de sa disponibilité sur une plateforme de VOD sur abonnement, 48 mois pour la vidéo à la demande gratuite, et regrettent cette spécificité française par rapport, par exemple, au marché américain», écrit la Hadopi. La Haute Autorité pense qu’«une évolution de la chronologie des médias» pourrait renforcer l’attractivité de l’offre légale et que les internautes se tourneraient moins vers le téléchargement illégal.
Dans le même ordre d’idées, les consommateurs jugent souvent que la taille des catalogues est encore trop restreinte. Ce qui pourrait s’expliquer en partie par l’absence d’une plateforme de VOD phare qui se démarque des autres.

Pas assez de versions originales sous-titrées

Parmi les autres entraves au développement de l’offre en ligne, citées par les internautes, la Hadopi note également «la faible disponibilité des versions originales et sous-titrées des œuvres» ou encore « la visibilité de l’offre illicite via des sites de direct download, qui bénéficient parfois d’un meilleur référencement sur les moteurs de recherche».

Selon des études menées par le CNC et le Baromètre VoD GfK-NPA Conseil, les actes de consommation légale en VOD représentent aujourd’hui l’équivalent de 10% des entrées cinéma (2% en 2007) et 33% des ventes de films sur support physique (7% en 2007). En avril 2011, 6.000 titres étaient disponibles en VOD sur les plateformes légales françaises.

Anaëlle Grondin 

20 minutes