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samedi 23 octobre 2010

Vendredi 13 - Chapitre 2 : le tueur du vendredi de Steve Miner (1982)













Le pitch - Alors qu'on le croyait mort noyé au fond de Crystal Lake, Jason Vorhees revient se venger du sort réservé à sa mère. Après avoir assassiné Alice, seule survivante du premier opus, il massacre les innocents campeurs présents, puis doit faire face à Ginny, dotée de pouvoirs psychiques, et son ami Paul.
Pourquoi le (re)voir ? Parce que même si le premier volet est hors course pour cause d'absence de Jason, ce tueur fait surtout surface dans le second volet de la très très longue franchise (11 films !). Avec près de 180 meurtres officiels au compteur, Jason Voorhees est aussi l'archétype du boogeymen increvable. Habillé régulièrement d'un bleu de travail, il est armé de son éternelle machette, qu'il porte amoureusement depuis ses premiers exploits. Mais Jason aime aussi se mettre au bricolage ou au jardinage, et n'hésite pas à employer tournevis, marteau, scie, râteau, débroussailleuse, etc...
C’est culte ! Le masque de hockey du tueur évidemment, qu'il porte depuis le troisème volet de la saga, d'ailleurs fendu d'un coup de hache et perclu de trous de balles...
L’anecdote qui tue - Le personnage et son look sont tellement devenus des icônes qu'ils ont directement inspiré le personnage du jeu Splatterhouse, un jeu culte développé par Namco et sort

Halloween, La Nuit des masques de John Carpenter (1978)












Le pitch - La nuit d'Halloween 1963. Le jeune Michael Myers se précipite dans la chambre de sa soeur aînée et la poignarde sauvagement. Après son geste, Michael se mure dans le silence et est interné dans un asile psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s'échappe de l'hôpital et retourne sur les lieux de son crime. Il s'en prend alors aux adolescents de la ville...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que sans Michael Myers, pas de boogeymen possible. Véritable force de la nature (il mesure 2 mètres !), il porte un masque blanc dont l'explication sur son origine a été réactualisée par Rob Zombieavec Halloween. Michael Myers ne court jamais après ses victimes, mais se contente de marcher. De toute façon, il finit toujours par les rattraper...Froid, silencieux, méthodique, il aime se tapire dans les recoins sombres des pièces pour mieux fondre sur ses victimes. En dépit de ses nombreuses blessures par balles, d'un corps à moitié brûlé, d'une aiguille à tricoter enfoncée dans le cou, de défenestrations, etc...il reste increvable. La réincarnation du Mal absolu donc. Plus de 30 ans après sa sortie, le film de John Carpenter est toujours le maître-étalon du genre : toujours copié, jamais égalé.
C’est culte ! Notre coeur balance entre le thème musical glacant composé par Carpenter himself, et la scène d'ouverture du film où Michael Myers alors jeune enfant, poignarde à mort sa soeur, alors que le spectateur suit la scène en vue subjective, derrière le masque du tueur...Stress garanti.
L’anecdote qui tue -une économie de moyen pour un chef-d'oeuvre du genre : le film coûta 320.000 dollars. La moitié de cette somme alla à la location de la caméra Panavision; 20.000 dollars pour le cachet de Donald Pleasence (pour cinq jours de tournages !). Résultat : plus d'argent pour les costumes, si bien que tous les acteurs du film portent leurs propres vêtements !

Freddy - Chapitre 1 : Les Griffes de la Nuit de Wes Craven (1984)



Le pitch - Nancy est une jeune adolescente qui fait régulièrement des cauchemars sur un homme au visage brûlé, avec un vieux pull déchiré et cinq lames tranchantes à la place des doigts. Elle constate d'ailleurs que parmi ses amis, elle n'est pas la seule à faire ces mauvais rêves. Mais bientôt, l'un d'entre eux est sauvagement assassiné pendant son sommeil. C'est ainsi que le groupe fait la connaissance de l'ignoble Freddy Krueger, qui se sert des cauchemars pour assassiner les gens qui rêvent de lui. Nancy comprend qu'elle n'a plus qu'une seule solution : si elle veut rester en vie, elle doit rester éveillée...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que loin, très loin de ses premiers excès (La Dernière maison sur la gauche), Wes Craven signe ici le premier volet des aventures de Freddy, et fit entrer ce cultissime Boogeymen au panthéon des tueurs increvables. Brûlé au 10e degré, habillé d'un pull miteux bariolé en rouge et vert, d'un chapeau de feutre cramoisi et d'un gant pourvu de lames rasoirs au bout des doigts pour mieux écorcher ses victimes, Robert Englund donne le meilleur de lui-même dans un rôle dont il fut tellement imprégné, que jamais il ne put s'en départir dans le reste de sa carrière. Si les sept films (huit si l'on compte le remake)  suivants sont de qualités très inégales, on pourra décerner une mention spéciale à Freddy sort de la nuit, qui offre une saisissante et glacante mise en abîme du personnage.
C’est culte ! Les passages cultes sont légion dans le premier opus. De la fameuse scène de la baignoire sans fond de Heather Langenkamp au meurtre de Johnny Depp, en passant par l'affreuse et obsédante comptine (One, two, Freddy's coming for you...), on ne sait finalement pas très bien que choisir...
L’anecdote qui tue - Pour quelle raison Wes Craven a-t-il nommé ainsi Freddy Krueger ? Le réalisateur des Griffes de la Nuit aime à dire qu'il lui a tout simplement donné le nom du jeune garçon qui le brutalisait lorsqu'il était enfant. Un étrange et lointain écho à l'enfance torturée de Freddy Krueger ?

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Une nuit en enfer de Robert Rodriguez (1996)


Affichette (film) - FILM - Une nuit en enfer : 15002
Le pitch - En cavale, Richard et son frère Seth, ont rendez-vous avec Carlos, au Titty Twister, un bar de routier situé à la frontière mexicaine. Les deux hommes n’ont aucune idée de ce qui les attend…
Pourquoi le (re)voir ? Parce que ce film qui s’annonce comme un road movie tourne vite au cauchemar. Loufoque et déjanté, Une nuit en enfer est un classique du genre, mélangeant le gore et l’humour. Le sang gicle, les membres volent, la violence est sans limite… Le duo Rodriguez/Tarantino au sommet de son art !
C’est culte ! La scène de danse de Salma Hayek (alias Satanico Pandemonium), déambulant à moitié nue dans le bar et faisant son numéro de charme à Richard Gecko (Quentin Tarantino).
L’anecdote qui tue - Pour le rôle de Seth Gecko, le réalisateur envisage Tim Roth, John Travolta, Michael Madsen, Steve Buscemi ou encore Christopher Walken. Mais tous y renoncent en raison d’emploi du temps divergent. C’est finalement George Clooney qui accepte le rôle.

Starship Troopers de Paul Verhoeven (1997)


Affiche - FILM - Starship Troopers : 4987

Le pitch - Au XXIVe siècle, une fédération musclée fait régner sur la Terre l'ordre et la vertu, exhortant sans relâche la jeunesse à la lutte, au devoir, à l'abnégation et au sacrifice de soi. Mais aux confins de la galaxie, une armée d'arachnides se dresse contre l'espèce humaine.
Pourquoi le (re)voir ? Parce que Paul Verhoeven signe ici un rand film de guerre, un grand film de SF, un grand film de monstres géants, un grand film gore et un grand pamphlet sur la propagande. A la revoyure, on réalise ainsi que les spots télévisés de la Fédération annonçaient, cinq ans avant, les sports de l’administration Bush post-11 septembre. Visionnaire, ce Paul Verhoeven.
C'est culte ! L’attaque d'un camp retranché humain par une armée d’arachnides, façon Alamo.
L'anecdote qui tue - Pour mettre à l’aise ses comédiens en vue de la scène des douches mixtes, Paul Verhoeven tourna la scène totalement nu lui aussi.

Event Horizon de Paul W.S. Anderson (1998)


Affichette film

Le pitch - 2047. Le vaisseau spatial Lewis & Clark a pour mission de repérer l'épave de l'Event Horizon, de déceler les causes de sa mystérieuse avarie et de récupérer les éventuels survivants.
Pourquoi le (re)voir ? Parce que Paul W.S. Anderson (Resident Evil) signe ici son meilleur film, malgré de nombreuses coupes imposées par le studio. Reste une vision spatiale de l’enfer assez angoissante…
C'est culte ! Les décors du vaisseau, inspirés de la Cathédrale Notre-Dame.
L'anecdote qui tue - Pour mener à bien ce film, Paul W.S. Anderson refusa le projet d’adaptation de X-Men, repris par Bryan Singer.

Alien, le huitième passager de Ridley Scott (1979)

affichette

Le pitch - Le vaisseau commercial Nostromo et son équipage rentrent sur Terre avec une importante cargaison de minerai. Mais lors d'un arrêt forcé sur une planète déserte, l'officier Kane se fait agresser par une forme de vie inconnue…
Pourquoi le (re)voir ? Parce que dans l’espace, personne ne vous entendra crier. Sur un concept assez basique de "film de monstre", Ridley Scott livre un monument de la SF (son approche de la SF "quotidienne" et des ouvriers de l’espace fonctionne à merveille) et de l’angoisse, où la créature, quasi-invisible, ménage ses apparitions pour mieux jouer avec les nerfs du spectateur... et apporter une dimension quasi-sexuelle à sa relation avec la belle Ripley (qui était d'ailleurs un homme dans la première ébauche du scénario). Trente ans après, Alien, le huitième passager n’a pas pris une ride.
C'est culte ! La scène du repas, interrompue par le jaillissement de la créature depuis le corps de John Hurt. Si l'acteur était au courant, ses partenaires ignoraient tout du déroulement de la séquence... à tel point que leurs réactions lorsque le sang les asperge ne sont pas feintes.
L'anecdote qui tue - La créature, imaginée par H.R. Giger, s’inspire d'un mélange de fragments organiques avec des pièces mécaniques : la maquette a été ainsi conçue avec de vrais ossements assemblés avec de la plasticine sur des tuyaux et des pièces de moteur. Cette nouvelle forme d'art contemporain sera nommée par ses soins la "biomécanique".

Le Loup-garou de Londres de John Landis (1981)


Le pitch - Deux jeunes Américains en vacances s'égarent dans une région déserte de l'Angleterre. Ils sont attaqués par une bête étrange. Peu après, l'un d'entre eux s'éveille dans un hôpital...
Pourquoi le (re)voir ? Parce qu'il permet de constater que, en dépit de ses quasi trente ans d'âge, on a jamais montré si efficacement la métamorphose d'un loup-garou au cinéma, en dépit des énormes progrès de la technologie et de la 3D (oubliez le loup-garou en images de synthès de Van Helsing !). Au-delà de cette étape dans l'histoire des effets spéciaux, Le Loup-garou de Londres doit aussi beaucoup à un passionné du genre, John Landis, qui écrivit l'histoire en 1969 alors qu'il était âgé d'à peine 19 ans. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que Michael Jackson fit appel à lui pour signer l'un des plus célèbres clips musical de l'histoire : celui de Thriller !
C’est culte ! L'hallucinante séquence de la métamorphose de l'homme en loup-garou, montrée sous tous les angles, est entrée depuis longtemps dans la légende du septième art. Une scène atroce et sublime qui fonctionne grâce au génie de Rick Baker, considéré à juste titre comme un des meilleurs maquilleurs à Hollywood, et connu comme étant le spécialiste des maquillages de singe.
L’anecdote qui tue - Pour ce film traitant des loup-garous, il est amusant de noter que toutes les chansons de la bande originale contiennent le mot "lune" dans leur titre. Il est, en effet, de notoriété publique que les lycanthropes se transforment sous l'effet de la pleine lune...

The Descent de Neil Marshall (2005)


Le pitch - En plein milieu du massif des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition spéléologique. Soudain, un éboulement bloque le chemin du retour. Alors qu'elles tentent de trouver une autre issue, elles réalisent qu'elles ne sont pas seules. Quelque chose est là, sous terre, avec elles... Quelque chose de terriblement dangereux décidé à les traquer une à une...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que cela faisait bien longtemps qu’on n’avait pas ressenti dans une salle de cinéma un tel état de claustrophobie, et qu’on se croirait vraiment prisonniers en compagnie de ces jeunes spéléologues confrontées à l’horreur. Parce que la prouesse technique (tout est bien sûr filmé en studio) est impressionnante. Et parce que les bestioles du film, contrairement aux autres de cette partie, sont tout sauf drôles !


C'est culte ! Lorsque Sarah, l’héroïne, ressort progressivement d’une eau souterraine qui n’est plus qu’une mer de sang… Une scène terrifiante qui n’est pas sans rappeller le Carrie de Brian De Palma.
L'anecdote qui tue - Jusqu’aux scènes de confrontations, le réalisateur Neil Marshall n’a montré aucune image des créatures du film aux actrices. Celles-ci en étaient d’autant plus terrifiées au moment de les voir surgir du noir…

Piranhas de Joe Dante (1978)

Vignette (Film) - Film - Piranhas : 2168

Le pitch - Un nouvelle espèce de piranhas créée par l'armée, capable de vivre en eau douce et en eau salée, est accidentellement relâchée dans un fleuve durant l'été. Le carnage commence...
Pourquoi le (re)voir ? Parce qu'avec ce premier film en solo, Joe Dante gagne ses galons de réalisateur... au point de séduire un certain Steven Spielberg, charmé par cette série B qui revisite ses Dents de la Mer. 30 ans après, le film a certes un peu vieilli mais reste efficace, notamment grâce à quelques morts sympathiques, dépassées depuis par le Piranha 3D d'Alexandre Aja.
C'est culte ! Le bruit du banc de piranhas en plein festin : une sorte d'essaim d'abeilles aquatiques. Difficile à décrire... mais mémorable !
L'anecdote qui tue - Au début du film, Heather Menzies joue au jeu vidéo officiel des Dents de la Mer.

Les Dents de la Mer de Steven Spielberg (1975)

Vignette (Film) - Film - Les Dents de la Mer : 12789

Le pitch - Un policier, un biologiste marin et un pêcheur traquent un grand requin blanc qui terrorise la station balnéaire d'Amity...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que Spielberg, malgré un tournage difficile, a su terrifier plusieurs générations de baigneurs... en montrant finalement très peu le squale géant, et en jouant sur la suggestion grâce à l'utilisation géniale de la caméra subjective et la musique de John Williams. Toujours copié, jamais égalé, Les Dents de la Merreste un chef d'oeuvre de la peur.
C'est culte ! La scène dans laquelle Robert Shaw raconte le naufrage de l'USS Indianapolis. Un monologue terrifiant.
L'anecdote qui tue - Richard Dreyfuss reprend dans la scène d'ouverture du rédent Piranha 3D son rôle des Dents de la Mer... pour mourir dévoré par les poissons. C'était bien la peine de survivre au requin !



Re-Animator 2 de Brian Yuzna (1989)


Le pitch - Apres leurs méfaits commis dans la ville d'Arkham, le docteur Herbert West et son complice, l'étudiant Dan Cain, se sont réfugiés en Amérique latine. De retour dans leur pays avec un nouveau sérum particulièrement perfectionne, ils se proposent de réanimer la fiancée de Dan dont il ne peut oublier la disparition…
Pourquoi le (re)voir ? Parce que la saga Re-Animator, inspirée de Lovecraft, revisite le mythe de Frankenstein de façon sanglante… Et ici, plus particulièrement La Fiancée de Frankenstein.
C'est culte ! Jeffrey Combs, une gueule incontournable du genre malheureusement sous-utilisé (Peter Jackson lui offrira un rôle culte dans Fantômes contre fantômes).
L'anecdote qui tue - Le film est signé Brian Yuzna, grand nom de la série B horrifique avec des films comme Le Retour des morts-vivants 3, Le Dentiste, Progeny ou Faust.

Wolf Creek de Greg McLean (2006)


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Le pitch - Trois amis partent pour un trekking en Australie. Ils tombent en panne et sont secourus par un homme qu'ils prennent tout d'abord pour un bon samaritain...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que Greg McLean signe ici l'unique film d'horreur estampillé Dogme, reprenant à son compte les préceptes édictés par Lars von Trier
C'est culte ! La scène dans laquelle le psychopathe torture très longuement sa victime. Interminable et malsain à souhait.
L'anecdote qui tue - A la demande des autorités australiennes, la sortie du film fut repoussée, le temps pour la justice de statuer sur le cas d'un tueur en séries qui massacra un touriste anglais dans des conditions rappelant les sévices subis par les victimes du dégéné de Wolf Creek.

Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper (1974)


Le pitch - Un groupe d'amis vaguement hippies cheminent à travers le Texas à bord d'un minibus lorsqu'une panne d'essence les contraint de ralier une station-service située à quelques pas de la maison d'une famille de dégénérés...
Pourquoi le (re)voir ? Parce qu'il s'agit un classique inoxydable de l'horreur emmené par un tueur psychopathe d'anthologie, Leatherface. On vous recommande ce final bluffant où la brute à la tronçonneuse entreprend une danse macabre sur une route du Texas.
C'est culte ! La scène dans laquelle la famille convie une jeune victime à sa table. Terrifiée, la pauvre demoiselle hurle, déclenchant les rires sadiques des dégénérés. La séquence atteint des sommets d'horreur quand la jeune fille se fait entaillée le doigt pour nourrir de son sang le grand-père édenté...
L'anecdote qui tue - Lors du tournage de la scène mentionnée ci-dessus, la comédienne frisa la crise d'hystérie. Tobe Hooper l'avait poussée dans ses derniers retranchements.

Détour mortel de Rob Schmidt (2003)


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Le pitch - Alors qu'ils pensaient passer un agréable week-end, des amis tombent en panne au milieu des bois. Ils tentent alors de trouver de l'aide. Ils le regretteront...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que ce survival rappelle furieusement Délivrance (la référence ultime lorsqu'on évoque le calvaire de gentils citadins en forêt), que les créatures ont été conçues le maître Stan Winston. Le fait Eliza Dushku se balade en débardeur et taille basse tout au long du film plaide aussi en faveur de Détour mortel, avouons-le.
C'est culte ! La scène dans laquelle Eliza Dushku est entravée, offerte à la lame rouillée de son dégénéré de bourreau.
L'anecdote qui tue - Le film fut jugé tellement perturbant que les distributeurs américains limitèrent la promotion à la télévision pour éviter de choquer les téléspectateurs les plus sensibles. Par ailleurs, les bandes-annonces TV furent expurgées des plans des plans les plus choquants contenus dans les trailers cinéma.

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