Sondage

Tous nos services de referencement, gratuit.

Bannières Affilinet

Jimdo
div style="text-align: center;">

Echange de Banniére
Autosurf GrosBill
Perles du bac & perles des profs

vendredi 21 mai 2010

L'arbre







Date de sortie cinéma : Fin de l'été 2010
Titre original : The Tree
Long-métrage français , italien , australien . Genre : Comédie dramatique
Durée : 01h40min Année de production : 2009
Synopsis : En Australie, Dawn et Peter vivent heureux avec leurs quatre enfants à l'ombre de leur gigantesque figuier. Lorsque Peter meurt brutalement, chacun, pour continuer à vivre, réagit à sa manière. Simone, la petite fille de 8 ans, croit que son père vit à présent dans l'arbre. Un jour, elle initie Dawn à son secret... Peu-à-peu Dawn retrouve des forces, un travail. Peut-être un nouvel amour ? La vie reprend mais l'arbre devient envahissant : ses branches, ses racines, et même son peuple de grenouilles et de chauves-souris se lancent à l'assaut de la maison et menaçent ses fondations ! Dawn n'a plus le choix : elle doit le faire abattre...

Le blog du grand Journal




James Franco

Le blog du grand Journal




Les photos d"Ali Baddou

Le blog du grand Journal


Photo de Gérard Depardieu




La Minute N°700 - Vendredi 21 mai 2010

Cannes: Il était une fois en Algérie


Quatre ans après Indigènes, Rachid Bouchareb présente à Cannes son nouveau film Hors-la-loi, épaulé par son trio d'acteurs fétiches : Jamel Debbouze, Roschdy Zem et Sami Bouajila.



Au centre d'une polémique depuis un mois alors que personne ne l'a encore visionné, Hors-la-loi, lenouveau film de Rachid Bouchareb est projeté aujourd'hui sur la Croisette en compétition officielle. Quatre ans après le triomphe critique et public d'Indigènes, qui a attiré près de 3 millions de spectateurs français en salle, le réalisateur de Little Senegal et London River revient à Cannes avec un sujet tout aussi brûlant : l'évocation de la guerre d'Algérie, à travers le destin de trois frères rescapés des massacres de Sétif, commis par la France en 1945. Pour cette vraie fausse suite d'Indigènes, Rachid Bouchareb a fait appel à nouveau aux comédiens Jamel DebbouzeRoschdy Zem etSami Bouajila, qui avaient reçu un prix d'interprétation masculine collectif au Festival de Cannes 2006.

Le pitch ? Chassés de leur terre algérienne, trois frères et leur mère sont séparés. Messaoud (Roschdy Zem) s'engage en Indochine. À Paris, Abdelkader (Sami Bouajila) prend la tête du mouvement pour l'Indépendance de l'Algérie et Said (Jamel Debbouze) fait fortune dans les bouges et les clubs de boxe de Pigalle. Leur destin, scellé autour de l'amour d'une mère, se mêlera inexorablement à celui d'une nation en lutte pour sa liberté.

Doté d'un budget de 20 millions d'euros, Hors-la-loi a nécessité 5 mois de tournage, pour l'essentiel en Tunisie. Ce film, envisagé par son réalisateur comme une sorte de "Il était une fois en Algérie", sortira sur les écrans le 22 septembre prochain.
W.B. - vendredi 21 mai 2010 à 11h55


VIDEO : Cassel rédacteur en chef du magazine Premiere Spécial Cannes

Pour son numéro Spécial Cannes, le magazine Première s'est offert un invité de luxe :Vincent Cassel . L'enfant terrible du cinéma français a accepté de prendre les commandes d'un numéro exceptionnel. Outre des infos et des interviews exclusives sur les principaux films cannois, vous pourrez retrouver les coups de coeur et les coups de gueule de l'acteur. Tout au long de ce numéro collector, Vincent Cassel invite donc les lecteurs à découvrir son univers. L'acteur a interviewé les réalisateurs qu'il affectionne et, à son micro, David Cronenberg , Darren Aronofsky ou Romain Gavrasse confient comme jamais. Plus loin, Cassel nous fait découvrir une nouvelle génération de comédiens... 
Collector on vous dit. 
Pour vous faire patienter jusqu'à mercredi, découvrez la vidéo de sa séance photo exceptionnelle !



Brad Pitt dans la peau d'un aventurier


Brad Pitt va endosser le rôle d'un aventurier illuminé pour James Gray. Le film Lost City of Z les plongera aux confins de l'Amazonie.



Le comédien américain Brad Pitt se glissera dans la peau de l'aventurier Percy Fawcett pour le long-métrage Lost City of Z, sous la direction de James Grayréalisateur de The YardsLa nuit nous appartient et Two Lovers. Le tournage est prévu fin 2010, en Amérique du Sud probablement.

Le cinéaste James Gray s'attelle au biopic de Percy Harrison Fawcett, un explorateur disparu au coeur de la jungle amazonienne en 1925 tandis qu'il était en quête de l'Atlantide, soit d'une civilisation avancée qu'il avait nommée Z. James Gray adapte donc au cinéma l'enquête de David Grann Lost City of Z, parue en France aux éditions Laffont en 2010.

L'acteur finance notamment ce projet via sa société de production Plan B, comme il l'a fait auparavant pour Kick-Ass. Au préalable, Brad Pitt devrait rejoindre Darren Aronofsky pour The Tiger ainsi que Bennett Miller pour Moneyball.
P.C. - vendredi 21 mai 2010 à 16h20

Box-office: Robin des Bois au top


Pour sa première semaine de sortie en salle,Robin des Bois empoche la première place du box-office entre le 12 et le 18 mai, suivi de près des deuxièmes volets de Camping etIron Man. Du côté des démarrages parisiens du 19 mai, à 14h, Copie conforme a séduit le plus de cinéphiles.




Comme toute grosse production, Robin des Bois n'échappe pas au succès pour sa première semaine de sortie en salle. Le film d'aventures de Ridley Scott fait sensation en squattant le trône du box-office pour la semaine du 12 au 18 mai avec 1.039.815 visiteurs. Forcément, la comédie estivale Camping 2de Fabien Onteniente se retrouve au second rang avec 492.481 spectateurs cette semaine, juste devant le film de super-héros de John Favreau, Iron Man 2, qui accuse d'une baisse de 36,43 % par rapport à la semaine précédente, avec 375.901 entrées. Sur la quatrième marche, la comédie romantique L'amour, c'est mieux à deux, avec Clovis Cornillac, Manu Payet et Virginie Efira, affiche 301.614 passages en caisse, tandis que l'horrifiant Freddy, Les Griffes de la nuit ne clôt ce top 5 qu'avec 233.963 tickets payés pour sa première semaine de diffusion.

Dans le reste des dix films les plus visionnés cette semaine, Crazy Night, 6e avec 224.746 entrées, surclasse Imogène McCarthery alias Catherine Frot, 7e avec 151.850 cinéphiles convaincus, et Les Extraordinaires Aventures d'Adèle-Blanc-Sec, aka Louise Bourgoin, 8e avec 114.890 visiteurs. Enfin, petit score pour le policier L'Élite de New York d'Antoine Fuqua, 9e avec 98.602 spectateurs malgré son casting de choc (Richard Gere, Don Cheadle, Ethan Hawke et Wesley Snipes), et pour Dragons 3D, 10e avec 96.733 entrées sur un total de 2.141.514 en sept semaines.

Du côté des démarrages parisiens du mercredi 19 mai. Le réalisateur iranien Abbas Kiarostami fait sensation avec Copie conforme. Le film emmené par Juliette Binoche atteint 1.013 visiteurs pour la séance de 14h, loin devant Le Plan B, comédie romantique d'Alan Poul, 2e avec 682 tickets vendus, etStreet Dance 3D, 3e avec 473 spectateurs. Les Secrets de Raha Amari prennent la 4e place avec 182 cinéphiles séduits, et Film Socialisme, la dernière réalisation de Jean-Luc Godard, clôt ce top 5 avec 134 amateurs.
E.M. - vendredi 21 mai 2010 à 08h00

jeudi 20 mai 2010

De l'ombre à la lumière [19. 5.2010]


Le fait qu'Alan Wake cite plusieurs fois l'univers de Stephen King au gré de son scénario n'est sans doute pas un hasard. Après deux mémorables Max Payne, le studio de développement Remedy offre en effet à la Xbox 360 un véritable acte de création qui renvoie directement aux oeuvres du plus célèbre des auteurs de terreur. Et ceci, avec un talent consommé, qui fait de cette superproduction l'un des titres incontournables de ce printemps pourtant vidéoludiquement chargé.



Alan Wake est un écrivain à succès. Ou plutôt, il l'était: depuis bientôt deux ans, l'auteur est en panne d'inspiration. Plus une ligne ne parvient à naître sous sa plume autrefois féconde. A tel point que sa femme décide de l'emmener se changer les idées. Direction les montagnes et la petite ville de Bright Falls. C'est à ce moment que le joueur fait d'ailleurs connaissance avec son héros. Sur le ferry le menant à destination, sous un soleil que l'on contemple sans se douter que l'on ne le reverra plus guère avant la fin de l'épopée. Car ce qui attend Alan, c'est une plongée dans l'obscurité.

Une terreur très inspirée



On pourrait croire que Stephen King est à l'origine de cette histoire. L'auteur américain, à travers son oeuvre, s'est souvent entiché d'un personnage principal de tempérament artiste ou romancier, avant de le confronter à des phénomènes terrifiants et incompréhensibles. Alan Wake reprend précisément cette trame, et place le joueur, qui incarne l'auteur, face à une succession d'événements de plus en plus troublants. Que se passe-t-il lorsque le monde se met à changer pour suivre les lignes d'un ouvrage écrit de la main d'Alan, mais dont lui-même ne parvient pas à se souvenir?

Alan Wake multiplie les références à Stephen King. Le jeu le cite nommément, mais il fait aussi appel aux mécanismes mis en oeuvre dans ses livres. Tout commence par une légère distorsion de la réalité, ancrée dans le quotidien le plus banal -en l'occurrence, ici, un simple café snack. Puis les choses s'accélèrent lorsque survient la disparition -un kidnapping?- de l'être aimé. Une ombre pourchasse le romancier, lance des apparitions fantomatiques à ses trousses sitôt que la lumière du jour est tombée. L'étrange s'installe. On ramasse progressivement les pages du manuscrit disparu venant raconter, précisément, la suite des événements. De quoi insuffler encore le doute dans les esprits. La force créatrice d'Alan Wake a-t-elle modifié le monde, ou sommes-nous plongés dans les fantasmes d'un homme qui se retrouve, d'ailleurs, dans un hôpital psychiatrique -certes un peu particulier, mais tout de même- au beau milieu de son aventure?

Le jeu ne répond jamais réellement à cette interrogation, ce qui le place dans la tradition littéraire du fantastique au sens le plus strict du terme. Et c'est sans doute ce qui constitue la plus grande force de ce jeu par ailleurs plutôt classique sur la forme: doté d'une charpente narrative particulièrement solide, subdivisé en six épisodes à la manière d'une série télé particulièrement inspirée, le titre se déguste surtout comme un bon bouquin dont on attend impatiemment de connaître la fin. La richesse des cinématiques ajoute encore à l'immersion, d'autant qu'elle met en scène des acteurs motion-capturés particulièrement convaincants dans leur jeu, mais ne nous y trompons pas, de fait: les clés de l'intrigue sont cachées au coeur des pages du livre que l'on doit s'employer à rassembler.

Bien entendu, il y a une jouabilité derrière cette affaire. Alan Wake, sur ce point, est moins novateur. Contrôlé dans une vue à la troisième personne, le héros doit principalement affronter les ombres ennemies à l'aide d'armes conventionnelles, mais surtout muni d'une lampe-torche apte à dissiper les menaces. Dans cet univers d'ombre, en effet, la lumière est cruciale. Elle sert de point de respiration lorsque l'on se met à l'abri sous un lampadaire, elle permet de faire disparaître des illusions; elle soigne, aussi, le romancier qui doit faire face à des assauts de créatures (ombres humaines, oiseaux, objets possédés) de plus en plus hardies et résistantes. Le tout, il faut bien le dire à un moment donné, dans des environnements dont la qualité va crescendo tout au long de l'épopée, passant des milieux montagneux à la ville, puis aux champs de blé plongés dans l'obscurité. Il y a une "patte" artistique que l'on ne peut que saluer tant on est souvent sidéré par ce que l'on est en train de contempler.

Questions de rythme


Le seul regret, peut-être, c'est qu'Alan Wake ne ménage guère de moment exceptionnel. Ici, il faudra survivre, certes, à un assaut d'ombres sur une scène de groupe de rock -ce qui n'est pas sans faire penser à Left for Dead 2-, là on affrontera quelques hordes de corbeaux particulièrement redoutables... Mais jamais l'ennemi ne prend une forme réellement massive, concrète, ou n'envoie même un boss digne de ce nom à affronter. C'est un choix compréhensible, puisque, on l'a dit, ce sont les mécanismes d'un livre ou d'une série TV qui sont à l'oeuvre, et qu'à ce titre il faut savoir ménager la tension d'une intrigue qui va crescendo. Mais c'est aussi omettre, pour Remedy, le simple fait que l'on ne peut s'affranchir totalement des codes traditionnels des jeux vidéo, lesquels fonctionnent davantage sur une conception cyclique de la tension -et se doivent donc de ménager quelques climax au fil du challenge. Un aspect qu'il conviendra peut-être de prendre en compte pour la suite de ce bijou d'aventure horrifique: un Alan Wake 2 serait déjà envisagé par les développeurs, si le premier rencontre le succès...

Nicolas Blanchard


GraphismesDes univers ouverts mis au service d'un gameplay par ailleurs très guidé. L'idée est surprenante, mais convaincante, d'autant que la qualité technique est impressionnante. Les environnements urbains et naturels traversés, de jour comme de nuit, sont de plus en plus beaux à mesure que l'on avance dans le jeu.
SonUn travail énorme a été accompli pour faire de la bande-son un véritable complice de l'histoire. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que c'est réussi.
InterfaceUne jouabilité étonnament cassique pour un titre si innovant par ailleurs. Mais l'ensemble est convaincant et se met au service de l'ambiance.
Durée de vieUn petit bémol sur ce point: il faudra une dizaine d'heures tout au plus pour boucler le jeu. Après, il restera bien quelques challenges spécifiques à affronter, mais cela reste un peu juste. Heureusement, comme pour un bon bouquin, on a vite envie de recommencer l'histoire du début pour la déguster encore et encore...

Interpol : Corinne Touzet revient ce soir sur TF1

Après avoir été une Une Femme d'honneur pendant plus de neuf ans, Corinne Touzet revient ce soir sur TF1 avec une nouvelle série, Interpol . Découvrez la bande-annonce.




Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo





Après la fin d'Une femme d'honneur en 2007, Corinne Touzet reste dans la police et prend du galon. Ce soir, TF1 diffusera ainsi le pilote d'Interpol, la nouvelle série de l'actrice, où elle campe une commissaire travaillant pour l'importante institution internationale... Entre France, Italie, Allemagne et Tunisie, Louise Verneuil et son équipe sillonneront ainsi le globe à la recherche de deux enfants, arrachés à leur mère par un père italien.
Pour l'aider dans cette délicate mission, la policière pourra néanmoins compter sur le capitaine Kieffer ( Marc Grosy ), la nouvelle recrue Charlie Mercier (Charlie Nune), et le lieutenant Marciano ( Thomas Cerisola ), enquêteur du commissariat local.
Réalisé par Eric Le Roux (MépriseLe Bison ), ce pilote - intitulé Le Dernier Cercle - est signé par Franck Ollivier ( Mystère Paris enquêtes criminelles ). Et si le succès est au rendez-vous ce soir, ce 90 minutes pourrait bien sûr devenir une série...

Cannes: Naomi Watts et Sean Penn dans un thriller signé Doug Liman

Doug Liman, le réalisateur de Mr. & Mrs Smith, défend aujourd'hui sur la Croisette son film Fair Game, un thriller tiré de faits réels. Avec Naomi Watts et Sean Penn.

 Doug Liman a le privilège d'être le seul cinéaste américain en compétition cette année au Festival de Cannes. Le réalisateur de La Mémoire dans la peau et Mr. & Mrs Smith vient y présenter son nouveau long métrage, Fair Game, qui s'inspire des mémoires de Valerie Plame Wilson, une employée de la CIA. Tiré de faits réels, ce thriller qui s'annonce des plus nerveux marque surtout les retrouvailles cinématographiques de deux acteurs déjà réunis en 2003 dans 21 grammesd'Alejandro González Iñárritu et en 2004 dans The Assassination of Richard Nixon de Niels Mueller :Naomi Watts et Sean Penn


Le pitch ? Valerie Plame (Naomi Watts), agent de la CIA au département chargée de la non-prolifération des armes, dirige secrètement une enquête sur l'existence potentielle d'armes de destruction massive en Iraq. Son mari, le diplomate Joe Wilson (Sean Penn), se voit confier la mission d'apporter les preuves d'une supposée vente d'uranium enrichi en provenance du Niger. Mais lorsque l'administration Bush ignore ses conclusions pour justifier le déclenchement de la guerre, Joe Wilson réagit via un éditorial dans le New York Times, déclenchant ainsi la polémique. Peu après, la véritable identité de Valerie Plame est révélée par un célèbre journaliste de Washington. Avec sa couverture réduite à néant, Valerie voit s'effondrer sa carrière et sa vie privée.

La sortie en salle de Fair Game est annoncée pour le 27 octobre prochain.

Découvrez un extrait de Fair Game :

 

mercredi 19 mai 2010

Eyes of War VOST




  • Date de sortie : 16 Juin 2010
  • Réalisé par : Danis TANOVIC
  • Avec : Colin Farrell , Paz Vega , Christopher Lee ...
  • Durée : 1h35min
  • Pays de production :
    United States
  • Titre original : Triage
  • Distributeur : Bac Films
  • Synopsis : Photographes de guerre chevronnés, Mark et David sont en mission au Kurdistan. Tandis que le premier décide de rester sur place quelques jours encore en quête du cliché susceptible de le rendre célèbre, le second ne supporte plus la violence et le désespoir quotidiens. Surtout, il veut rentrer pour retrouver sa femme Diane, qui attend un enfant.Grièvement blessé, Mark échoue dans un hôpital de campagne, avant d’être rapatrié à Dublin, où il apprend que David, lui, a disparu….

Salt




  • Thriller / Espionnage
  • Date de sortie : 25 Août 2010
  • Réalisé par : Phillip Noyce
  • Avec : Angelina Jolie , Liev Schreiber , Chiwetel Ejiofor
  • Pays de production :
    United States
  • Titre original : Edwin A. Salt
  • Distributeur : Sony Pictures
  • Synopsis : Evelyn Salt, un agent de la CIA, est dénoncée par un déserteur comme étant une "taupe" russe. Salt doit alors échapper à la capture de ses supérieurs afin de prouver son innocence.

Zapping du 19 mai 2010




Au menu du zapping du 19 mai 2010 :

Pascal le grand frère 
Pékin Express, l'aventure continue 
Le Grand Journal de Cannes 
100% Mag 
Les Guignols de l'info 
Morandini ! 
Global Mag 
Cauchemar en cuisine 
La roue de la fortune 
Le magazine de la santé 
Slam 
> Le Grand JT Décalé

BOOSTER LOG