Y'a du rififi chez Dr House ! Après avoir été mis à la porte, un assistant a décidé de se venger. Il balance pêle-mêle la présence de drogues et d'armes sur les plateaux de tournages. Sans oublier des nuits de débauche. Et ben dis donc !
De la drogue en veux-tu en voilà, des armes en libre circulation, des violences verbales et des strip-teaseuses. Mais on est où là ? Chez les Soprano ? Il y a visiblement erreur sur la série, car on parle en réalité de Dr House ! La production est confrontée à un scandale de grande ampleur, si grande, qu'il en devient d'ailleurs assez peu crédible. Pourtant, ces accusations sont examinées très sérieusement par la cour supérieure de Los Angeles. C'est un certain Carl Jones qui est à l'origine de l'affaire. En mars dernier, cet assistant est remercié des plateaux de tournage de Dr House. Aujourd'hui, il raconte les raisons de son licenciement et nous sort la totale !
Carl Jones affirme qu'il était en désaccord avec "la conduite dégénérée" de ses supérieurs. Selon le site américain TMZ, qui s'est procuré le dossier, l'assistant accuse la production d'harcèlement sous prétexte qu'il aurait "refusé des virées dans des bars à striptease, de prendre de la drogue" mais aussi de participer à des parties de jambe en l'air "et autres conduites dangereuses." Et Carl Jones n'a pas fini de vider son sac ! Il en rajoute une couche en dénonçant des insultes proférées par ses supérieurs envers d'autres salariés telles que "pédés, garces, chiens, esclaves, attardés" ou autres "idiots". Et, cerise sur le gâteau : des armes circuleraient librement sur le plateau.
Grâce à ses accusations, Carl Jones, visiblement pas si traumatisé que ça, espère empocher 1 million d'euros. De quoi oublier les sévices endurés...
Carl Jones affirme qu'il était en désaccord avec "la conduite dégénérée" de ses supérieurs. Selon le site américain TMZ, qui s'est procuré le dossier, l'assistant accuse la production d'harcèlement sous prétexte qu'il aurait "refusé des virées dans des bars à striptease, de prendre de la drogue" mais aussi de participer à des parties de jambe en l'air "et autres conduites dangereuses." Et Carl Jones n'a pas fini de vider son sac ! Il en rajoute une couche en dénonçant des insultes proférées par ses supérieurs envers d'autres salariés telles que "pédés, garces, chiens, esclaves, attardés" ou autres "idiots". Et, cerise sur le gâteau : des armes circuleraient librement sur le plateau.
Grâce à ses accusations, Carl Jones, visiblement pas si traumatisé que ça, espère empocher 1 million d'euros. De quoi oublier les sévices endurés...
Mathilde Saez - mercredi 21 juillet 2010 à 15h40
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