Arthur Penn, le réalisateur de Bonnie and Clyde et de Little Big Man, est décédé mardi soir à Manhattan à l'âge de 88 ans.
Le cinéaste Arthur Penn s'est éteint mardi soir à New York. Il avait fêté la nuit d'avant ses 88 ans. Il fut l'un des réalisateurs les plus doués de sa génération, du moins l'un des plus subversifs en filmant à la fin des années 1960 la violence et le sexe de manière révolutionnaire. Acteur de théâtre dans sa jeunesse, Arthur Penn avait fait ses débuts dans la mise en scène au sein de la télévision avant de rejoindre le monde du cinéma en 1958, année de la sortie de son premier long métrage, Le Gaucher, où l'on découvrait un tout jeune Paul Newman dans la peau de Bill the Kid.
Avec ses films majeurs Bonnie and Clyde, La Poursuite impitoyable et Little Big Man, Arthur Penn avait su insuffler au cinéma américain un rythme plus rapide et nerveux grâce à un montage virtuose. Il a ouvert la voie à la génération des metteurs en scène américains des années 1970 comme Martin Scorsese, Francis Ford Coppola ou encore Paul Schrader.
Sorti en 1967, Bonnie and Clyde, l'histoire du couple de gangsters Bonnie Parker (Faye Dunaway) et Clyde Barrow (Warren Beatty) demeure son chef-d'oeuvre. On doit également à cette figure majeure et respectée du cinéma les films Miracle en Alabama (1962), Mickey One (1965), Alice's Restaurant(1969) ou encore Missouri Breaks (1976), où Jack Nicholson donnait la réplique à Marlon Brandon.
Avec ses films majeurs Bonnie and Clyde, La Poursuite impitoyable et Little Big Man, Arthur Penn avait su insuffler au cinéma américain un rythme plus rapide et nerveux grâce à un montage virtuose. Il a ouvert la voie à la génération des metteurs en scène américains des années 1970 comme Martin Scorsese, Francis Ford Coppola ou encore Paul Schrader.
Sorti en 1967, Bonnie and Clyde, l'histoire du couple de gangsters Bonnie Parker (Faye Dunaway) et Clyde Barrow (Warren Beatty) demeure son chef-d'oeuvre. On doit également à cette figure majeure et respectée du cinéma les films Miracle en Alabama (1962), Mickey One (1965), Alice's Restaurant(1969) ou encore Missouri Breaks (1976), où Jack Nicholson donnait la réplique à Marlon Brandon.
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