Il a suffi d'un petit tweet de sa part pour enflammer la toile et embarrasser le Parti Socialiste et son mari de président, François Hollande. Valérie Trierweiler se retrouve une nouvelle fois au centre de toutes les attentions en affichant son soutien à un candidat adversaire de Ségolène Royal pour les législatives et relance le débat autour de son avenir de journaliste.
"François me fait totalement confiance, sauf sur mes tweets," confiait récemment Valérie Trierweiler sur Femme Actuelle. Aujourd'hui, on comprend mieux pourquoi. Il a suffi d'un petit tweet de la journaliste pour que "le trierweilergate" soit déjà décrété. A 11h56, la première dame de France a décidé d'afficher publiquement son soutien à Olivier Falorni, candidat dissident dans la 1ère circonscription de La Rochelle, aux dépens de Ségolène Royal, candidate officielle des socialistes, soutenue par l'ensemble du parti... et par François Hollande lui-même.
Une voix dissente qui a bien évidemment ravi Olivier Falorni qui s'est dit "réjoui de ce geste amical". L'hypothèse d'un éventuel piratage du compte de Valérie Trierweiler a été écartée, cette dernière ayant confirmé ses propos à l'AFP. Reste donc à comprendre quelle mouche a bien pu piquer la journaliste. Simple geste amical ou volonté de nuire à la campagne de l'ancienne compagne de François Hollande ?
Ce tweet tombe en tout cas mal dans la stratégie d'union sacrée du Parti Socialiste autour de Ségolène Royal. Et marque le premier couac de Valérie Trierweiler en tant que compagne du président de la République. Un couac qui ne devrait pas non plus aider la journaliste à prouver qu'elle peut encore continuer sa carrière comme si de rien n'était.
A noter que Ségolène Royal a refusé de commenter ce tweet. Regardez sa réaction au micro d'I-Télé :
R.E - mardi 12 juin 2012 à 16h08
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