La calvaire s'achève enfin pour les apprentis cuistots de MasterChef. Le jeudi 4 novembre, ils ne seront plus que quatre pour participer à la grande finale. Aiguisez vos couteaux, il n'y aura qu'un seul survivant !
Des mois de compétition acharnée durant lesquels il leur aura fallu supporter la pression, la rivalité, les remarques assassines du jury, battre les oeufs, fouetter la mayonnaise, découper les carottes en rondelles... Bref, les candidats de MasterChef n'ont pas chômé ! Mais le supplice arrive à sa fin. Le jeudi 4 novembre à 20h45, TF1 diffusera la grande finale de l'émission culinaire, suivie, comme d'habitude de MasterChef se met à table dès 23h25 avec les coulisses du concours. Les candidats ne seront plus que quatre en début de soirée, mais il n'en restera qu'un à la fin. Celui qui aura su éviter les embûches, remporter les épreuves, et se mettre les trois jurés dans la poche remportera 100 000 euros, 6 mois de formation dans une grande école de cuisine et l'édition de son propre livre de recettes.
Une récompense bien méritée, car la compétition n'aura pas été de tout repos pour les candidats.MasterChef a d'ailleurs fait l'objet de nombreuses critiques de la part des professionnels de la cuisine et des médias. L'un des reproches les plus fréquents : l'ambiance exécrable. En cause : les jurés d'abord, plus autoritaires que pédagogues (même si Sébastien Demorand s'est défendu d'être méchant), et l'animatrice Carole Rousseau, juhée glaciale. On est loin de l'atmosphère bon enfant de Top Chef ou Le dîner presque parfait, le combat des régions.
Après un début laborieux, MasterChef fonctionne correctement en terme d'audience, même si l'on est encore loin du carton éspéré par la Une. La chaîne a d'ores et déjà commandé une deuxième saison. Les chefs Frédéric Anton et Yves Camdeborde ont annoncé qu’ils rempilaient.
Une récompense bien méritée, car la compétition n'aura pas été de tout repos pour les candidats.MasterChef a d'ailleurs fait l'objet de nombreuses critiques de la part des professionnels de la cuisine et des médias. L'un des reproches les plus fréquents : l'ambiance exécrable. En cause : les jurés d'abord, plus autoritaires que pédagogues (même si Sébastien Demorand s'est défendu d'être méchant), et l'animatrice Carole Rousseau, juhée glaciale. On est loin de l'atmosphère bon enfant de Top Chef ou Le dîner presque parfait, le combat des régions.
Après un début laborieux, MasterChef fonctionne correctement en terme d'audience, même si l'on est encore loin du carton éspéré par la Une. La chaîne a d'ores et déjà commandé une deuxième saison. Les chefs Frédéric Anton et Yves Camdeborde ont annoncé qu’ils rempilaient.
Mathilde Saez - mercredi 13 octobre 2010 à 09h38
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