Le pitch - Nancy est une jeune adolescente qui fait régulièrement des cauchemars sur un homme au visage brûlé, avec un vieux pull déchiré et cinq lames tranchantes à la place des doigts. Elle constate d'ailleurs que parmi ses amis, elle n'est pas la seule à faire ces mauvais rêves. Mais bientôt, l'un d'entre eux est sauvagement assassiné pendant son sommeil. C'est ainsi que le groupe fait la connaissance de l'ignoble Freddy Krueger, qui se sert des cauchemars pour assassiner les gens qui rêvent de lui. Nancy comprend qu'elle n'a plus qu'une seule solution : si elle veut rester en vie, elle doit rester éveillée...
Pourquoi le (re)voir ? Parce que loin, très loin de ses premiers excès (La Dernière maison sur la gauche), Wes Craven signe ici le premier volet des aventures de Freddy, et fit entrer ce cultissime Boogeymen au panthéon des tueurs increvables. Brûlé au 10e degré, habillé d'un pull miteux bariolé en rouge et vert, d'un chapeau de feutre cramoisi et d'un gant pourvu de lames rasoirs au bout des doigts pour mieux écorcher ses victimes, Robert Englund donne le meilleur de lui-même dans un rôle dont il fut tellement imprégné, que jamais il ne put s'en départir dans le reste de sa carrière. Si les sept films (huit si l'on compte le remake) suivants sont de qualités très inégales, on pourra décerner une mention spéciale à Freddy sort de la nuit, qui offre une saisissante et glacante mise en abîme du personnage.
Pourquoi le (re)voir ? Parce que loin, très loin de ses premiers excès (La Dernière maison sur la gauche), Wes Craven signe ici le premier volet des aventures de Freddy, et fit entrer ce cultissime Boogeymen au panthéon des tueurs increvables. Brûlé au 10e degré, habillé d'un pull miteux bariolé en rouge et vert, d'un chapeau de feutre cramoisi et d'un gant pourvu de lames rasoirs au bout des doigts pour mieux écorcher ses victimes, Robert Englund donne le meilleur de lui-même dans un rôle dont il fut tellement imprégné, que jamais il ne put s'en départir dans le reste de sa carrière. Si les sept films (huit si l'on compte le remake) suivants sont de qualités très inégales, on pourra décerner une mention spéciale à Freddy sort de la nuit, qui offre une saisissante et glacante mise en abîme du personnage.
C’est culte ! Les passages cultes sont légion dans le premier opus. De la fameuse scène de la baignoire sans fond de Heather Langenkamp au meurtre de Johnny Depp, en passant par l'affreuse et obsédante comptine (One, two, Freddy's coming for you...), on ne sait finalement pas très bien que choisir...
L’anecdote qui tue - Pour quelle raison Wes Craven a-t-il nommé ainsi Freddy Krueger ? Le réalisateur des Griffes de la Nuit aime à dire qu'il lui a tout simplement donné le nom du jeune garçon qui le brutalisait lorsqu'il était enfant. Un étrange et lointain écho à l'enfance torturée de Freddy Krueger ?
L’anecdote qui tue - Pour quelle raison Wes Craven a-t-il nommé ainsi Freddy Krueger ? Le réalisateur des Griffes de la Nuit aime à dire qu'il lui a tout simplement donné le nom du jeune garçon qui le brutalisait lorsqu'il était enfant. Un étrange et lointain écho à l'enfance torturée de Freddy Krueger ?
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