Dr House, Grey's Anatomy et autres Urgencesne sont pas bonnes pour votre santé mentale ! C'est ce surprenant résultat que révèle une étude scientifique réalisée aux Etats-Unis.
On savait bien que le Dr House était louche... Mais qu'il veuille du mal à ses fans, ça, on n'y aurait jamais pensé ! Et pourtant, une étude menée par l’Université de Rhodes Island et parue dans le périodiqueMass Communication and Society met en garde les amateurs de séries médicales : elles ne sont pas bonnes pour la santé ! Et ça n'est pas tant au niveau physique que les effets se déclarent, mais plutôt sur le plan mental. En gros, elles rendent leurs téléspectateurs un chouia paranoïaques. Tout ceci est très sérieux.
En fait, à force de regarder des fictions médicales et découvrir des maladies rarissimes, les téléspectateurs ont l'impression d'avoir plus de chances d'être atteints par ce type de pathologie. Car en développant leurs connaissances médicales, les fans de ce genre de séries (généralement très réalistes et bien renseignées) deviennent plus attentifs aux différents symptômes. Au bout du compte, l'étude constate qu'ils risquent de ne plus arriver à se sentir heureux de vivre. L'ignorance a parfois du bon...
Cette étude assez pessimiste a été menée par la chercheuse Yinjiao Ye. Celle-ci a interrogé 274 étudiants de l’Université d’Alabama âgés de 18 à 31 ans, tous en bonne santé physique. Elle a comparé l'estimation que ces jeunes avaient de leur vitalité à leur degré de consommation de sériesmédicales. Le résultat est sans appel. Alors, vous commencez quand votre sevrage ?
En fait, à force de regarder des fictions médicales et découvrir des maladies rarissimes, les téléspectateurs ont l'impression d'avoir plus de chances d'être atteints par ce type de pathologie. Car en développant leurs connaissances médicales, les fans de ce genre de séries (généralement très réalistes et bien renseignées) deviennent plus attentifs aux différents symptômes. Au bout du compte, l'étude constate qu'ils risquent de ne plus arriver à se sentir heureux de vivre. L'ignorance a parfois du bon...
Cette étude assez pessimiste a été menée par la chercheuse Yinjiao Ye. Celle-ci a interrogé 274 étudiants de l’Université d’Alabama âgés de 18 à 31 ans, tous en bonne santé physique. Elle a comparé l'estimation que ces jeunes avaient de leur vitalité à leur degré de consommation de sériesmédicales. Le résultat est sans appel. Alors, vous commencez quand votre sevrage ?
Mathilde Saez - mardi 05 octobre 2010 à 13h07
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